Nous voilà en train de refaire les sacs pour l’embarquement, avec 4 paires de skis et seulement 2 bagages pour 4… le tris commence.
Une fois sur place, nous découvrons l’accueil Japonnais, fait de courbette et de « pas de soucis ».
On embarque dans notre camping car pour l’aventure.
Le chauffage, à notre grand regret ne fonctionne pas, il fait -16 dehors et j’ai oublié de prendre mon duvet de couchage depuis la France.
Enroulé dans les couvertures subtilisées dans les avions pour mon plus grand confort, je survis tant bien que mal à cette première nuit.
On découvre enfin les neiges légères et tellement vantées par tous. Petit volcan réalisé sur le chemin avec une foret chargée en arbre et en neige.
Après négociation, on nous place dans un lodge le temps de réparer notre chauffage, grand confort et bonne humeur vont de paire.
Ensuite d’autres randos autour de Niseko, un créneau météo s’ouvre à nous pour faire le Mont yoteil et skier dans son cratère emprisonnant les plus belles neiges de l’ile.
Nous ne verrons pas les hors pistes de la station de Niseko, préférant donner suite à nos randos en peau de phoque.
Transfert dans le Nord de l’ile vers Furano, sur des routes blanches, ça me rappel le Canada 🙂
Puis notre première déception, la station est fermée pour révision et entretien… mince!
On finira à Asahidake, mais sur le chemin, le gel à raison du liquide de refroidissement et l’on éclate une durite, impossible de rouler.
Nous voilà errant dans les montagnes Japonaises dans l’attende de la dépanneuse.
Taxi, puis hotels pour finir notre semaine. Heureusement les Onsens (bain de sources chaudes) sont là pour nous détendre et relaxer pour oublier tous ces petits soucis.
Nous finirons par une dernière rando en deux montées avec une neige de cinéma, dans laquelle les acteurs donnent tout.
Retour vers la maison.
Mardi c’est le Beaufortain en raid, à suivre